lundi 27 août 2007
Mon week-end en solo
Ta première armoire
jeudi 23 août 2007
Tlazolteotl (bonne fête mon petit papillon bleu, aujourd'hui, c'est la Sainte Rose)...
Tlazolteotl, eater of filth. Tlazolteotl, goddess of lust, goddess of shame. When her worshippers, her witches, invoke her, when they invoke her with fire and blood and degradation, she comes to them in the form of a blue butterfly.
Tlazolteotl, devourer of sins. Goddess of witches and witchcraft, she is the crescent moon. She flies naked across the sky, riding on a broomstick. She holds a red snake in one hand, and in the other she holds a coil of blood-smeared rope.
The fallen come to her, the sinful and the monstrous come to her. She will forgive them. She will forgive them for everything.
In the form of a blue butterfly, she visits her chosen few. Those who follow the flight of the blue butterfly will have to crawl through shit. They are luminaries of affliction. They will take all the world's filth in their hands, and transform it into something beautiful. They will breathe in all the suffering of the world, and they will exhale it as compassion.
Méthode Bonapace
mercredi 22 août 2007
Rose
- Rose, comme le poème de Ronsard sur les âges de la vie
- Rose, comme la ville de Guadeloupe, berceau de tes origines Antillaises
- Rose, comme la premère dame que j'ai accompagnée en soins palliatifs
- Rose, comme Sainte Rose de Lima, pour la latinité qui nous rapproche ton papa et moi
- Rose, comme la douceur des pétales et le piquant des épines
- Rose blanche, rose, rouge... innocente, tendre et passionnée.
- Rose, à la fois simple et complexe, parfaite, élégante... comme une femme.
Sainte Rose de Lima (Pérou)
3e Consultation aux Diaconesses (6e mois)
Zizi Jeanmaire, 1978.
lundi 20 août 2007
Metro, boulot, dodo...et lacher prise.
Le "lacher-prise" (discipline olympique recemment référencée)est cet acte merveilleux qui vous rend libre et détaché de toute chose. Bien que difficile, son efficacité est cependant redoutable: l'effort accompli, vous n'en avez réellement plus rien à foutre. C'est à la fois triste (d'en avoir rien à foutre de rien) et profondément libérateur. Ce matin sonnait l'heure de la rentrée sous une pluie battante, et là dessus aussi, je crois qu'on va lâcher prise... hein.